Biographie
Andrew Wells-Oberegger est un compositeur, arrangeur, réalisateur et multi-instrumentiste canadien. Évoluant de manière professionnelle dans le milieu de la musique ancienne et du monde depuis plus de vingt ans, il se distingue d’emblée par sa grande maîtrise d’une impressionnante variété d’instruments tels que la guitare classique, le luth renaissance, l’oud, la cornemuse, le saz, la mandoline, le bouzouki et le santoor. S’appuyant sur une enviable formation académique et sur l’exploration, guidée par des maîtres, des traditions musicales d’ici et d’ailleurs, il ajoute à la longue liste de ses possibilités la voix, les flûtes diverses et trois types de percussions singulières : le daff, le req et la tamburello italienne.
Habitué de la scène et du studio, on peut l’entendre sur plus d’une vingtaine d’albums au sein de différents ensembles dont La Nef, La Mandragore, ESEM, Cercamon, De Lònga et La Strada. Cinq de ces disques ont d’ailleurs été récompensés aux prix Opus, dont un, remis à ESEM dans la catégorie «Musiques du monde et musique traditionnelle québécoise», sur lequel il aura assuré l’enregistrement et la réalisation. Bon nombre des projets portant sa griffe se sont de plus vus nommés au gala de l’ADISQ dans la catégorie «Meilleur album – Musiques du monde», au Prix Opus ou encore au Prix de musique folk canadienne entre 2008 et 2018. Son expertise particulière fait en sorte que l’on sollicite Andrew Wells-Oberegger comme interprète, mais également comme compositeur et directeur musical. C’est dans ce triple rôle qu’il figure au cœur de la distribution du spectacle Udistik Orkestra, produit par La Nef et en nomination au prix Opus à titre de «Spectacle de l’Année – Musique du monde». En parallèle, il collabore depuis plusieurs années à la musique de films («Metallic Blues», «St-Tite, Far West, PQ», «L’hiver de Léon») et de jeux vidéo (pour le compte d’Ubisoft et de Behavior) avec Robert Marcel Lepage, Michel Cusson, Grégoire Jeay, Luc Boivin, Normand Roger et Luc St-Pierre.
L’année 2020 marquera, en ce sens, un tournant dans la carrière de l’artiste, qui, devant un besoin de création jusqu’ici inégalé, décide de mettre ses compositions de l’avant pour la première fois. Dans un désir de pérenniser des pièces jusqu’ici éphémères, son initiateur album solo — LONG WAY HOME -- évoque ainsi, en morceaux distincts quoiqu’unis par un même fil, la route qui mène vers soi, l’emprunt du sentier le plus long, celui des rencontres, des événements, des imprévus, jusqu’à l’éventuel retour à la maison. En somme, douze pièces musicales comme autant de tableaux vivants. Alliant le cérébral au senti, le musicien dose et trace avec délicatesse des récits qui se passent de langue et desquels se dégagent, tour à tour, la mélancolie et l’apaisement. Au caractère érudit en apparence, la démarche de l’artiste est aussi ancrée dans l’intime et laisse place à une dimension intuitive certaine. Andrew Wells-Oberegger revisite la musique du monde sans la pasticher et peint, en textures et en couleurs, des univers sensibles et multicouches que l’on s’imagine habiter.
Andrew Wells-Oberegger is a Canadian composer, musical arranger, producer and multi-instrumentalist. He has been professionally involved in the early and world music scenes for over twenty years and is known for his mastery of an impressive variety of instruments such as classical guitar, renaissance lute, oud, bagpipes, saz, mandolin, bouzouki and santoor. Relying on a solid academic training coupled with his knowledge of international musical traditions gained through master classes, he adds singing as well as playing various flutes and three singular types of percussion —daff, req and Italian tamburello — to the extended list of his possibilities.
To this day, he was featured on more than twenty albums with various ensembles including La Nef, La Mandragore, ESEM, Cercamon, De Lònga and La Strada. Five of these records have won Opus Awards, including one in particular, awarded to ESEM in the "World Music and Traditional Quebec Music" category, which Wells-Oberegger recorded and produced himself. Many of the projects bearing his signature were also nominated at the ADISQ gala in the "Best Album - World Music" category, at the Opus Awards and at the Canadian Folk Music Awards between 2008 and 2018. Andrew Wells-Oberegger's particular expertise has led to him being called upon not only as a performer, but also as a composer and musical director. In this triple role, he notably took part in Udistik Orkestra, a show produced by La Nef and nominated for an Opus Award as "Show of the Year - World Music". In addition, he has been collaborating for several years on music for films ("Metallic Blues", "St-Tite, Far West, PQ", "L'hiver de Léon") and video games (for Ubisoft and Behavior) with Robert Marcel Lepage, Michel Cusson, Grégoire Jeay, Luc Boivin, Normand Roger and Luc St-Pierre.
In this sense, 2020 has marked a turning point in the artist’s career. In response to a so far unequalled need for creation, he decided to put his compositions forward for the first time. With the aspiration to immortalize hitherto ephemeral pieces, Wells-Oberegger’s debut solo album - LONG WAY HOME - evokes the road, filled with encounters and unexpected events, that leads towards oneself. The musician finds a good balance between intellectuality and feelings as he delicately crafts stories that do well without language and from which emerge melancholy and appeasement. Seemingly intellectual, the artist's approach is also intimate and gives way to a certain intuitive dimension. As a result, each of his musical pieces is like a vibrant narrative waiting to unfold. With LONG WAY HOME, Andrew Wells-Oberegger revisits world music without slipping into clichés and draws colourful, multi-layered universes that one shall imagine oneself living into.
Habitué de la scène et du studio, on peut l’entendre sur plus d’une vingtaine d’albums au sein de différents ensembles dont La Nef, La Mandragore, ESEM, Cercamon, De Lònga et La Strada. Cinq de ces disques ont d’ailleurs été récompensés aux prix Opus, dont un, remis à ESEM dans la catégorie «Musiques du monde et musique traditionnelle québécoise», sur lequel il aura assuré l’enregistrement et la réalisation. Bon nombre des projets portant sa griffe se sont de plus vus nommés au gala de l’ADISQ dans la catégorie «Meilleur album – Musiques du monde», au Prix Opus ou encore au Prix de musique folk canadienne entre 2008 et 2018. Son expertise particulière fait en sorte que l’on sollicite Andrew Wells-Oberegger comme interprète, mais également comme compositeur et directeur musical. C’est dans ce triple rôle qu’il figure au cœur de la distribution du spectacle Udistik Orkestra, produit par La Nef et en nomination au prix Opus à titre de «Spectacle de l’Année – Musique du monde». En parallèle, il collabore depuis plusieurs années à la musique de films («Metallic Blues», «St-Tite, Far West, PQ», «L’hiver de Léon») et de jeux vidéo (pour le compte d’Ubisoft et de Behavior) avec Robert Marcel Lepage, Michel Cusson, Grégoire Jeay, Luc Boivin, Normand Roger et Luc St-Pierre.
L’année 2020 marquera, en ce sens, un tournant dans la carrière de l’artiste, qui, devant un besoin de création jusqu’ici inégalé, décide de mettre ses compositions de l’avant pour la première fois. Dans un désir de pérenniser des pièces jusqu’ici éphémères, son initiateur album solo — LONG WAY HOME -- évoque ainsi, en morceaux distincts quoiqu’unis par un même fil, la route qui mène vers soi, l’emprunt du sentier le plus long, celui des rencontres, des événements, des imprévus, jusqu’à l’éventuel retour à la maison. En somme, douze pièces musicales comme autant de tableaux vivants. Alliant le cérébral au senti, le musicien dose et trace avec délicatesse des récits qui se passent de langue et desquels se dégagent, tour à tour, la mélancolie et l’apaisement. Au caractère érudit en apparence, la démarche de l’artiste est aussi ancrée dans l’intime et laisse place à une dimension intuitive certaine. Andrew Wells-Oberegger revisite la musique du monde sans la pasticher et peint, en textures et en couleurs, des univers sensibles et multicouches que l’on s’imagine habiter.
Andrew Wells-Oberegger is a Canadian composer, musical arranger, producer and multi-instrumentalist. He has been professionally involved in the early and world music scenes for over twenty years and is known for his mastery of an impressive variety of instruments such as classical guitar, renaissance lute, oud, bagpipes, saz, mandolin, bouzouki and santoor. Relying on a solid academic training coupled with his knowledge of international musical traditions gained through master classes, he adds singing as well as playing various flutes and three singular types of percussion —daff, req and Italian tamburello — to the extended list of his possibilities.
To this day, he was featured on more than twenty albums with various ensembles including La Nef, La Mandragore, ESEM, Cercamon, De Lònga and La Strada. Five of these records have won Opus Awards, including one in particular, awarded to ESEM in the "World Music and Traditional Quebec Music" category, which Wells-Oberegger recorded and produced himself. Many of the projects bearing his signature were also nominated at the ADISQ gala in the "Best Album - World Music" category, at the Opus Awards and at the Canadian Folk Music Awards between 2008 and 2018. Andrew Wells-Oberegger's particular expertise has led to him being called upon not only as a performer, but also as a composer and musical director. In this triple role, he notably took part in Udistik Orkestra, a show produced by La Nef and nominated for an Opus Award as "Show of the Year - World Music". In addition, he has been collaborating for several years on music for films ("Metallic Blues", "St-Tite, Far West, PQ", "L'hiver de Léon") and video games (for Ubisoft and Behavior) with Robert Marcel Lepage, Michel Cusson, Grégoire Jeay, Luc Boivin, Normand Roger and Luc St-Pierre.
In this sense, 2020 has marked a turning point in the artist’s career. In response to a so far unequalled need for creation, he decided to put his compositions forward for the first time. With the aspiration to immortalize hitherto ephemeral pieces, Wells-Oberegger’s debut solo album - LONG WAY HOME - evokes the road, filled with encounters and unexpected events, that leads towards oneself. The musician finds a good balance between intellectuality and feelings as he delicately crafts stories that do well without language and from which emerge melancholy and appeasement. Seemingly intellectual, the artist's approach is also intimate and gives way to a certain intuitive dimension. As a result, each of his musical pieces is like a vibrant narrative waiting to unfold. With LONG WAY HOME, Andrew Wells-Oberegger revisits world music without slipping into clichés and draws colourful, multi-layered universes that one shall imagine oneself living into.